Malaak
Malaak
(opens new window)
Seuil de critique: 18
Valeur offensive globale: 15
Capacités
Odorat et ouïe aiguisés. Le Malaak obtient un avantage lors des tests de Sagesse (Perception) basés sur l'odorat ou l'ouïe.
Actions
Attaques multiples : Le Malaak porte deux attaques de griffes et une attaque par morsure.
Griffes. Attaque d'arme au corps à corps : +5 pour toucher, allonge 1,50 m, une cible.
Touché : 2d6+5 dégâts perforants.
Morsure. Attaque d'arme au corps à corps : +5 pour toucher, allonge 1,50 m, une cible.
Touché : 3d6+5 dégâts perforants. Si la cible est une créature, elle doit réussir un jet de sauvegarde de Force DD 13 pour ne pas être jetée à terre.
Eventration. Si le Malaak réussit deux attaques de griffes sur un adversaire au cours du même round, il lui déchire violemment l’abdomen avec ses pattes inférieures, occasionnant automatiquement 4d6+5 de dégâts, d’autre part la victime est empoignée et subira des dégâts tous les rounds éventration à moins de réussir un test de force DD20 pour se libérer. Le résultat des dégâts est appliqué à l'abdomen.
Haut de près de onze pieds, il pèse entre sept cent et mille cent livres. Cette créature vit dans les déserts et les savanes au sud des royaumes de shahia et s'avère être un prédateur redoutable. Il sont quelques fois domestiqués et utilisés comme gardien ou dans les batailles à cause de son cuir très épais qui lui offre une grande résistance aux dégâts.
« Il était grand comme deux hommes. Ses membres, fins et longs, présentaient une musculature très développée. Son corps était recouvert d’une peau épaisse qui formait un cuir craquelé. Les seuls poils qui composaient son pelage étaient constitués d’une crinière rousse de poils épars et grossiers qui partaient de la base du crâne et qui descendaient le long de sa colonne vertébrale jusqu’au bas du dos.
Il avait un museau très développé, semblable à celui d’un chien, tel celui que porte le babouin et à bien des égards, il en avait la parenté. La mâchoire était puissante et la dentition devait être particulièrement développée, comme celles des félins. J’en eu immédiatement la confirmation lorsque la créature bâilla, ouvrant la gueule en grand et dévoilant des dents redoutables, dont de larges incisives aussi longues que la main tendue d’un homme. Sa face était recouverte de protubérances de chair qui recouvraient le museau sur le sens de la longueur et qui entouraient les orbites oculaires. L’animal avait un regard citrin terrifiant, avec en son centre, de minuscules pupilles noires. »
Chroniques de Yerkum de Jaad Ben Nassyr